Les femmes de lettres
Celles qui écrivent, celles qui en postent. Et celles qui font les deux à la fois.
Bonjour à tous,
Comment ça va cette semaine ?
Au programme : les femmes de lettres. Celles qui écrivent, celles qui en postent. Et celles qui font les deux à la fois.
Bonne lecture,
Josie
L’inspiration : les plis à poster
J’ai récemment découvert cette charmante collection de petits livres à envoyer par la Poste. Pas besoin d’enveloppe, tout est déjà prêt ! Idéal pour établir une correspondance littéraire avec quelqu’un, charmer un être aimé ou encore faire passer un message.
Mes préférés : “Comment ne pas payer ses dettes” de Charles Baudelaire (ça peut toujours être utile) et “Tout ce que je vous dois” de Virginia Woolf.
J’en ai reçu un dans ma boîte aux lettres pour mon anniversaire, chouette cadeau ! Et j’en ai envoyé à mon amie galeriste Sandrine Alouf à la galerie l’Œil bleu.
Tendance : Pourquoi la femme de lettres envoie ?
Un article très drôle du Futiloscope sur le renouveau de la femme de lettres. Vous ne connaissez pas cette newsletter ? Je vous conseille de vous abonner ! Elle analyse les tendances avec beaucoup d’humour et une touche d’impertinence. On passe toujours un bon moment de lecture en lisant “pourquoi tout le monde se toque du même truc en même temps”.
Autre conseil de lecture : la série “Fières de lettres” dans Libération sur ces écrivaines que l’Histoire a oubliées et qui n’en restent pas moins géniales.
Podcast : la voix de Fanny Ardant
Elle ne le sait pas, mais Fanny Ardant a littéralement sauvé mon premier confinement. À l’époque, je souffrais de sévères tendinites. J’ai dû reposer mes poignets en acceptant de ne plus utiliser mes bras. Et je vous avoue qu’une vie sans bras, c’est compliqué ! Heureusement, France Culture a fait une série d’épisodes avec et sur elle. Sa voix m’a bercé et m’a envoutée. Avec elle, les journées paraissaient moins vides, moins douloureuses.
Fanny Ardant pourrait lire une liste de courses, ça resterait sublime. Je l’imagine en train de dire « moutarde » en insistant sur le « a », de susurrer « pain d’épices » et en faire le plus délicat des haïkus.
Fanny Ardant, c’est la femme d’à côté ? Ça dépend de quel côté on se place !
La preuve avec son interview Konbini.
https://www.franceculture.fr/emissions/voix-nue/la-musica-de-fanny-ardant
Le mot doux de Virginia Woolf
Je vous lis un passage de “Tout ce que je vous dois”, une lettre de Virginia Woolf sur le mariage. Ambiance Orgueil et Préjugés !